François Cheng parle de son langage à la fois subtil et puissant, et d’une vision poétique très personnelle. «Dans les années 50, malgré ses contributions à la cause révolutionnaire, il fut l’objet de violentes critiques pour ses vues sur la création poétique. Il meurt dans le silence et la solitude, laissant de nombreux textes inédits.» […]
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